Aller au contenu principal Aller au menu Aller à la recherche

AddToAny share buttons

Les arts de l’équitation dans l’Europe de la Renaissance

VIe colloque de l’Ecole nationale d’équitation de Saumur au château d’Oiron (4 et 5 octobre 2002)
Patrice Franchet d’Espèrey & Monique Chatenet (dir.)
2009
Paris, Picard, coll. « De architectura » (12), 2009, 296 p.
ISBN
978-2-7427-7211-7
35.00
  • Sous la direction de Patrice Franchet d’Espèrey et Monique Chatenet, avec la collaboration d'Ernest Chenière

En faisant apparaître que l’approche classique du cheval prônée par le plus célèbre des écuyers, François Robichon de La Guérinière, prenait ses racines à l’époque de la Renaissance italienne, cette étude apporte un regard nouveau sur une période cruciale de notre civilisation, qui vit naître l’équitation savante et le perfectionnement des techniques. Elle permet ainsi de mettre en valeur le raffinement des comportements qui lui sont liés, là où les historiens n’avaient cru voir jusqu’à présent que des pratiques désuètes et barbares.

En partenariat avec le Centre d’études supérieures de la Renaissance de Tours, une trentaine de spécialistes ont mené depuis 2000 une recherche visant à mieux cerner les caractéristiques et les enjeux des arts de l’équitation à l’époque de la Renaissance. Cette enquête - aux multiples références disciplinaires - a été développée selon quatre axes de réflexion : l’économie du cheval ; les techniques équestres, la dimension politique du cheval, les représentations et la signification culturelle de l’équitation.

Les Arts de l’équitation dans l’Europe de la Renaissance sont le fruit du VIe colloque organisé en octobre 2002 par l’Ecole nationale d’équitation, sous la direction de Patrice Franchet d’Espèrey en collaboration avec Ernest Chenière et de Monique Chatenet. Cette conférence, qui s’est idéalement tenue au château d’Oiron, près de Saumur, demeure du grand écuyer de France de François Ier et l’un des trois haras royaux, a ainsi offert un bel hommage à toute la Renaissance équestre.