Aller au contenu principal Aller au menu Aller à la recherche

AddToAny share buttons

Chanteloup, the Renaissance garden of the Villeroys

An initiation to Humanism
2022
Genève : Droz, collection « Ars longa », n° 9, cop. 2022, 352 p.
ISBN
978-2-600-06230-5 (br.) ; PDF 978-2-600-16230-2
ISSN
2235-1361
59.50
  • Auteurs
    Matthieu Dejean et Perrine Galand-Willemen
  • Introduction by Emmanuel Lurin

 

The garden of the Chanteloup castle (Saint-Germain-lès-Arpajon), owned by the Villeroy-Neufville family, was one of the wonders of the French Renaissance, which could compete with the great Italian gardens of the time. Perrine Galand-Willemen and Matthieu Dejean revive this exceptional artistic creation in its historical and intellectual context. The authors have studied several travel guides and a long Latin poem entitled Cantilupum (Paris, 1587; 1588), which describes the meanders of the garden. Cantilupum was written by Madeleine de L'Aubespine-Villeroy (1546-1596), wife of Secretary of State Nicolas IV de Neufville-Villeroy, lady of honour of Catherine de' Medici, woman of letters whom Ronsard considered his “spiritual daughter”. The garden of Chanteloup housed an extraordinary set of topiaries (carved shrubs), automata, statues, models and fountains, which recreated Roman civilization and offered an initiatory, stoic-Christian course to the walker.

Le jardin du château de Chanteloup (Saint-Germain-lès-Arpajon), propriété des Villeroy-Neufville, fut une des merveilles de la Renaissance française, qui pouvait rivaliser avec les grands jardins italiens du temps. Perrine Galand-Willemen et Matthieu Dejean font revivre cette exceptionnelle création artistique dans son contexte historique et intellectuel. Les auteurs ont travaillé à partir de plusieurs guides de voyages et d’un long poème latin intitulé Cantilupum (Paris, 1587 ; 1588), qui décrit les méandres du jardin. Cantilupum fut écrit par Madeleine de L’Aubespine-Villeroy (1546-1596), épouse du secrétaire d’État Nicolas IV de Neufville-Villeroy, dame d’honneur de Catherine de Médicis, femme de lettres que Ronsard considérait comme sa « fille spirituelle f». Le jardin de Chanteloup abritait un ensemble extraordinaire de topiaires (arbustes sculptés), d’automates, de statues, de maquettes et de fontaines, qui reconstituait la civilisation antique et offrait un parcours initiatique, stoïco-chrétien, au promeneur.

Pour accéder au site de la librairie Droz, cliquer ici